In Quint.Septimi Florentis Christiani poemata
Federicus Morellus

Présentation du paratexte

Ce court poème en distiques élégiaques de Federicus Morellus à la gloire de Florent Chrestien reprend le topos des Muses remerciant l’éditeur de ses bienfaits et favorisant son entreprise philologique.

Bibliographie :
Traduction : Sarah GAUCHER

In Quint. Septimi Florentis Christiani poemata

Sur les poèmes de Quintus Septimius Florens Christianus.

An mirum est Musas, flores quis tempora cingunt, Florentis scriptis uelle fauere sui ?

Est-il surprenant que les Muses, qui ont leurs tempes ceintes de fleurs, veuillent favoriser les écrits de leur cher Florent ?

Euterpe ante alias tragico florere cothurno Florentem uoluit, Melpomeneque lyra : Huicque Thalia dedit numeros ad Comica natos : Cetera confertim sex tribuere Deae.

Euterpe, avant les autres, voulut que Florent fleurisse du cothurne tragique, Melpomène de la lyre ; Thalie lui donna le rythme né pour les pièces comiques ; les six déesses lui attribuèrent unanimement le reste des talents.

Fed. Morellus P.T.R.

Federicus Morellus, premier imprimeur du roi.