Présentation du paratexte
Salomon Frenzel (1564-1605). Né à Breslau, mort à Riga. Poète et pédagogue.
Ce poème est en distiques élégiaques.
Bibliographie :-
Thomas Baier « Nicodemus Frischlin als Aristophanes-Übersetzer » editor Dramatische Wäldchen. Festschrift für Eckard Lefèvre zum 65. Geburtstag pubPlace publisher date -
Patrick Lucky Hadley Athens in Rome, Rome in Germany. Nicodemus Frischlin and the Rehabilitation of Aristophanes in the 16th Century pubPlace publisher date -
David Price The Political Dramaturgy of Nicodemus Frischlin : Essays on Humanist Drama in GermanypubPlace publisher, date
Ad Clarissimum uirum Nicodemum Frischlinum Aristophanis interpretem
« A l’illustrissime Nicodème Frischlin, traducteur d’Aristophane »
Ce que nul, jusqu’ici, nulle part, n’a osé commencer, tu l’as, toi seul, Nicodème, entrepris ; tu traduis en latin le grec d’Aristophane ! Quoi de plus sérieux ? De plus savant ? De mieux ? Je crois voir Plaute ou bien les socques de Térence, quand je lis, grand poète, un peu de tes ïambes. O le gage étonnant et noble d’un esprit remarquable, donné à nul chantre jadis ! Aristophane vit en toi et toi en lui, Frischlin, digne à jamais d’être aidé des puissants ! Salomon Frenzel