Aliud
Nicodemus Frischlinus

Présentation du paratexte

Traduction latine de cinq comédies d’Aristophane.

Ce poème est un argument en sénaires iambiques acrostiches.

Bibliographie :
  • Thomas Baier« Nicodemus Frischlin als Aristophanes-Übersetzer »editorDramatische Wäldchen. Festschrift für Eckard Lefèvre zum 65. GeburtstagpubPlacepublisherdate
  • Patrick Lucky Hadley Athens in Rome, Rome in Germany. Nicodemus Frischlin and the Rehabilitation of Aristophanes in the 16th Century pubPlace publisher date
  • David PriceThe Political Dramaturgy of Nicodemus Frischlin : Essays on Humanist Drama in GermanypubPlace publisher, date
Traduction : Christian NICOLAS

Aliud

Autre argument

Plutum admonet uir pauper uisum recipere. Laboriosos simul accersit agricolas. Vbi Blepsidemus accessit socius, uenit Tum pauperies ; repellitur. Caeco deo Visum dat Aesculapius ; gaudent boni, Saeuiunt mali. Pluto etiam cedit Iupiter.

Plutus reçoit conseil de la part d’un fauché de recouvrer la vue. Là, dans le même temps, il fait venir à lui des travailleurs des champs. Un certain Blepsidème arrive et fait équipe ; et sur ces entrefaites, Tout soudain vient Ladêche ; on la chasse en exil ; alors, au dieu aveugle, Un autre rend la vue, Esculape, les bons peuvent se réjouir ; Seul le vice est perdant. Plutus devient plus fort que le grand Jupiter.